Chroniques d'un dealer : Chapitre I
En banlieue t’as deux genres de familles, ceux qui s’en sortent financièrement aux parents fiers de leurs enfants qui travail a l’école, et ceux comme la mienne, où on est obligé de faire des choses contrariante pour aider la mère à nourrir la famille, aux mères qui ne demandent pas les sources des revenues tant que l’argent est là car sinon l’huissier sonnerai a la porte.
Moi, c’est Kevin, vingt ans et je vis à Paname avec ma mère et mon frère et ma sœur. J’ai un petit frère Alex, quinze ans celui la je le surveille de très près et une petite sœur Camille douze ans, ma petite protégée. Ayant perdu mon père a l’âge de huit ans, j’étais l’homme de la famille. La mort de mon père a été un choc émotionnel pour toute ma famille excepté Camille qui n’était qu’encore dans le ventre de ma mère.
C’est depuis ce jour là que j’ai compris qu’il faut que j’aide ma mère.
Les mères sont les plus forte tout le monde le sait, elles surmontent tout !
Ma mère pense que je travaille dans un fast food, mais réellement je glande tout la journée sur un banc avec mes potes d’enfance et pour avoir cet argent, je deal.
Le seul moyen d’avoir de l’argent rapidement et facilement sans s’épuiser c’est ça, je n’en suis pas fière loin de là, j’aurais aimé être l’enfant qui poursuit ses études, habités dans un pavillon loin de cette citée, mais comment voulez vous lorsque seul la mère paye pour tous nos besoin et que vous avez arrêté les études après le bac. Je ne voulais pas que mes frères et sœur vivent dans le besoin, j’étais obligé vu que le pôle emplois du bas de ma rue ne me proposer rien de bien ou libre à force on en a marre.
Un jour lorsque j’étais avec mon fournisseur ma sœur m’a vu, à partir de ce moment là tout a changé, Dieu merci elle n’en a pas parlé a ma mère, cependant Camille et moi ce n’était plus la même. Elle ne voulait plus rien provenant de moi je comprends, ce n’était pas de l’argent autrement dit « propre ».
Mon frère et ma sœur, c’était tout pour moi avec ma mère, il ne fallait pas qu’ils dérapent comme moi. Je les surveillés de près dans leur scolarité, lorsque qu’il y a un problème avec Alex c’est moi qui aller au rendez vous pour pas que ma mère se fatigue encore plus. Mon frère devait sans doute se douter de ce que je suis réellement.
Un jour la vérité éclatera et j’irai côtoyer le pôle emplois.
À Suivre...
Publié par : Mina